Vous vous doutez bien que j’y jette un œil de temps en temps
pour alimenter ma chronique. Mais comme je suis partageur, je vous ouvre une
fenêtre sur ledit document, en bas de cet article !
Voici tout de même un court extrait de la fiche Wikipédia de Bertrand Barère, pour lequel j’éprouve une certaine sympathie.
"Bertrand Barère dit Barère de Vieuzac, né le 10 septembre 1755 à Tarbes, où il est mort le 13 janvier 1841, est un homme politique de la Révolution française et juriste français.
Bertrand Barère |
Rapporteur attitré du Comité de salut public (où
il détient le record de longévité : dix-sept mois), ses discours lui
valent un succès prodigieux à la Convention : il est l’aède des soldats
de l’an II avec ses carmagnoles et donne un visage avenant, par
sa verve, aux mesures d’exceptions du gouvernement révolutionnaire
(Wikipédia qui est de parti pris, qualifie les mesures de « terroristes »).
Proscrit sous le Directoire, amnistié sous le Consulat et
l’Empire, exilé sous la Restauration, rentré en France sous Louis-Philippe,
il meurt à 85 ans, conseiller général à Tarbes. Pendant cette dernière
période, il sera élu à trois reprises député par les électeurs des Hautes-Pyrénées :
1797, 1815, 1834, ces élections, sauf celle des Cent-Jours, étant à chaque
fois annulées par les pouvoirs en place."
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Je vous remercie pour ce commentaire.
Bien cordialement
Bertrand